Afin d'acceder au résumé de Les Technopères, tome 7 : Le jeu parfait, merci d'activer Javascript.
Cet album me semble meilleur que les précédents. Tout d'abord, on insiste un peu plus sur l'exode organisé par Albino, donnant enfin un éclairage à cette errance que l'on découvre à chaque tome depuis le début. Les référence à l'Ancien Testament sont plus qu'évidentes. Par ailleurs, on sent que, après 6 tomes de flashs back, le passé a enfin rejoint le présent et l'ensemble apparaît plus fluide, un adjectif qu'il est rare d'utiliser au sujet d'une oeuvre de ce bon vieux Jodo, et encore plus dans cette série. On découvre ainsi comment Albino a pourri le système de l'intérieur, quelles sont les raisons qui l'y ont poussé, ainsi que les méthodes de recrutement des 500 000 jeunes embarqués avec lui. Tout cela avec un style suffisamment tordu pour être sûr que Jodorowski est bien l'auteur de tout cela. Le dessin semble s'améliorer un poil mais peut être est-ce dû à un nombre moins important de vignettes sans queue ni tête qui n'ont d'autre vocation que de choquer le lecteur.